Tosya Renaissance
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Tosya Renaissance

Le monde Tosya, au cours de la troisième Ère, ving-cinq ans après la montée en puissance du Roi de Dinak, Dan Azyrith, le traitre d'Alsaria.
 
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Aisleen Karnesta

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Aisleen Karnesta
Mercenaire

Aisleen Karnesta

Mercenaire


Messages : 4
Date d'inscription : 03/08/2010
Age : 33

Feuille de personnage
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MessageSujet: Aisleen Karnesta   Aisleen Karnesta EmptyVen 6 Aoû - 9:55

AISLEEN KARNESTA



I - Identité

Nom : Karnesta
Prénom : Aisleen
Sexe : Féminin
Age :197 ans réel, mais qui donne une apparence de 26 ans chez les humains.
Origine : Alsarienne
Métier/rang social :Mercenaire-Affide. Dont la couverture est éleveuse de chevaux. Aisleen est une noble ancienne héritière du domaine de sa famille.

II - Le personnage


Physique :

Mesurant près d’un mètre soixante-dix, on peut dire sans coup férir d’Aisleen que, par rapport aux autres membres de son espèce, elle est de grande taille. Svelte et aux muscles déliés. Ils reflètent une grande vitalité durement décrochée, au prix de nombreuses heures d'entraînement quotidiennes.

Le passant remarquera d’abord d’elle cette impression de froideur et détachement de tout qui émane de sa personne. Être de glace qui ne semble ressentir que très peu de sentiment, autre que le dédain, la colère ou encore l’amertume. Ensuite, après cette instant de recule il pourra distinguer le doux ovale de son visage, qui œuvre dans la continuité d’un menton aux courbes épurées. La mince arête de son nez et rehausser par de haute pommette, surmonté par des arcades sourcilières volontaires. Visage au trait fin et altier, mais emprunt d’une dureté qui n’a l’air d’exister que pour fêler ce miroir de rondeur en y jetant une pierre aux angles acérés.

Seul ses lèvres font preuves d’un peu d’humanité, c’est par elle que s’exprimera l’humeur de la jeune femme.
Son regard étant juste un puits de dureté infinie…Véritable lac gelé, ou aucune vie n’y parait où somme toutes ce serait chose rare. A ce tableau d’austérité, s’ajoute-la masse de boucle pale d’Aisleen. Si l’on croyait qu’avec, il y aurait une note de chaleur dans cette masse blonde il en était rien. Même cette lourde cape ondoyante marquait cette personne du sceau de la froideur.


Equipement :

-Épée double
-Dagues
-La bague en Istal des Mercenaires, qu'elle porte en collier, généralement masqué à l'intérieur de son corsage.

Caractère :

Les apparences sont parfois trompeuses, proverbe bien menteur pour la personne d’Aisleen Karnesta. Le contenant est l’expression quasiment complète du contenu. Sa nature n’est pas asociale loin de là, mais son caractère des plus difficiles met une difficulté de taille à aborder si quelqu’un d’inconnu aurait l’idée assez saugrenue de tenter un brin de causette.

Mentale de fer et d’acier qui ne souffre d’aucune intervention extérieure, on le remarque rien qu’a sa manière de s’exprimer à son entourage, abrupte et tranchante. Elle n’a pas sa langue dans sa poche et manque de la plus élémentaire forme de tact, elle ne met les formes de politesse uniquement si elle s’adresse à un de ses supérieur, les dominants…Et encore parfois sa langue va plus vite que sa conscience.
Entendue, car l’elfe a un avis bien trempé sur toute chose, quelle qu'elle soit ; elle suit sa propre conscience lorsqu'elle le forme, et non celle des autres comme le font bien des gens soi-disant animés de leur « libre-arbitre », et le comportement qui va avec coule de source.

En tout premier lieu, nous pourrons remarquer une froideur affirmée chez Aisleen, sans aucun rapport avec le sourire chaleureux qu'elle s'autorise parfois, même très rarement, à adopter, si ce n'est une parfaite opposition. Souvent belliqueuse, voir soupe au lait. Elle s’emporte pour un rien et éclate dans ses habituelles colères.
Hautaine et dédaigneuse, son port de tête, son maintien et sa droiture, ne cache aucunement ces défauts, pourtant ceux-ci peuvent s'avérer utiles dans diverses situations. Cette attitude est avant tout une mise en garde, réfrénant au plus téméraire l'envi de lui faire utilisé sa langue acéré.
Exigeante envers les autres et elle-même. Elle vise la perfection ou essai de l’atteindre au maximum.

Cette façade que se donne la jeune femme est une cuirasse, une forteresse difficilement prenable. Protection contre des blessures morales que la vie lui a appris à appréhender.
Cependant sous cette carapace se cache une douceur inouïe, un cœur d’or, une fidélité à toute épreuve, de la gentillesse tout ce qu’elle ne montre pas au commun des mortels. Elle ne l’affiche qu’à ses compagnons de toujours les chevaux , à son fils, à son dernier élève Tristan et en de très rare occasion à Aëlingen. Seuls êtres à l’avoir jamais déçu contrairement aux reste des êtres humains.
Pourtant, depuis quelques années cette carapace s’effrite petit à petit laissant transparaitre a des moments impromptu cette parcelle de tendresse.

Qualités/Défauts :

Tête brulée, elle s’emporte énormément, malgré que les années lui ai conférée une certaine forme de sagesse. Son tempérament volcanique détruis en un rien de temps les connaissances acquise durant sa vie.


Talents :


Douée d’une force et d’une endurance importante, durement acquise pour apprendre le maniement de son arme. Aisleen combine cela à une rapidité d’exécution du geste « éclair ». Mais la Mercenaire, à une contre partie qui n’est pas à nier. Par le développement de sa musculature elle perdit en souplesse et en agilité. Hypertrophiée musculaire diminuant l’élasticité ligamentaire.

Douée en dissimulation, elle aime revêtir ses hardes de garçon pour se jouer de son entourage et obtenir des informations que sous son apparence féminine elle n'aurait pas su obtenir.

Et elle est très bonne cavalière.

Particularités :

Aëlingen toujours collé à ses bottes....

III – Histoire


Tant d’année ce sont écoulées depuis mes débuts chez les Mercenaires, c’est êtres qui appartiennent à la légende de notre monde Tosya. Les personnes ont défilés devant mes yeux comme une tapisserie qui tisse une histoire, certain plus marquant que d’autre. Personnage récurent ou de simple fil de soie perdue dans l’immensité du travail. Tous, même les plus infimes, on jouer leur rôle dans cette organisation cachée. A eux tous la légende s’alimentait, persistait dans les cœurs et dans la conscience collective.

J’ai connu l’oubli complet que désirais l’organisation. Se faire oublier pour mieux pouvoir intervenir l’époque venant. Pourtant j’ai taché dans mon obstination de la maintenir au plus haut. Folle que j’étais à l’époque de mon âge tendre, je ne comprenais pas ou était l’intérêt de tous. Mais la vie, avant même mes supérieurs me fit comprend là mon erreur…
Maintenant je connais son renouveau. Mais a quel prix ? Celui de la guerre entre deux peuples qui étaient pourtant frère et la mort de beaucoup de compagnon.
Mais avant d’arriver à cela dans l’ordre de l’histoire je vais vous compter mon histoire…



Aisleen était si fatiguée qu’elle tenait à peine debout et c’était sans compter sur son bras tout endoloris à force de le tenir tendu.
Il faisait noir dans la fauconnerie, sans aucune lumière à part la sourde clarté de la lanterne pendue à une solive ; mais les prunelles du faucon étaient aussi brillantes, aussi sauvages et aussi rageurs que jamais.
« Non,…Il n’y a pas que de la haine mais de la peur, elle a peur de moi…. » Pensa Aisleen, seule pensée clair qu’elle arrivait à avoir depuis le nombre important d’heures qu’elle était dans cette salle. Lasse à en mourir, les yeux brulants de fatigue, prête à s’écrouler d’épuisement dans la paille souillé. Aisleen rageait intérieur de pas être capable de faire manger se faucon. C’était son devoir en tant que nouvelle héritière du domaine Karnesta…
Cadette d’une famille, de trois enfants, de petite noblesse, Aisleen n’aurait jamais du se retrouver dans une telle situation, si le destin n’en avait pas jugé autrement.
Tirant de sa ceinture son petit couteau tranchant et coupant soigneusement un morceau de la carcasse commodément posée près d’elle, Aisleen tremblait sous l’effort. Elle devait respirer profondément pour pouvoir se souvenir même qu’elle était « humaine ».
Elle ne devait pas laisser dominer sa fatigue, elle devait se souvenir qu’elle était « humaine », qu’elle était Aisleen Karnesta… Se forçant à respirer profondément, calmement, elle se remémora les paroles qui avaient à jamais changer le cour de sa vie.

« Ma fille, j’ai quelque chose à te dire. Ton frère à eu un accident lors d’un dressage et le coup que l’animal lui a porté le rend invalide pour toute sa vie. Vu qu’il était le seul de mes fils dignes de reprendre le domaine, je n’ai plus d’héritier mâle.
A partir d’aujourd’hui tu seras Len de Karnesta. Tu seras cet héritier qui me manque…. »


Lentement elle avait lutté pour devenir ce que son père désirait. Passions d’enfant devenant corvée, son jeune corps de 45 ans, n’avait même pas encore commencé à se développer totalement qu’il se faisait mettre de force dans un moule auquel il n’appartenait pas. Finit les cours de couture, de maintient, de langage…
Tout cela elle l’avait apprit mais ne devrait plus l’utiliser de la même manière. Tout ce qu’elle devait apprendre c’était le maniement des armes, le dressage d’oiseau et de chevaux. Tout pour pouvoir reprendre l’affaire familiale.

Inspiration, expiration, doucement, elle se força à être calme, à respirer lentement, et sentit l’effet calmant de sa respiration apaiser son esprit et même adoucir quelque peu la fureur déchaînée du faucon. L’oiseau enchainé était immobile, et l’enfant en attente savait de nouveau qu’elle était de nouveau Aisleen ou plutôt Len…
Lentement, elle perçut l’implication de l’effet que cela avait sur l’animal son ressentit propre. La peur et la fureur démentielle de l’animal s’apaisait au fur et a mesure.

L’oiseau tirait sur ses longues. Elles devaient être trop serrées. Elle tâtonnait d’une main dans la pénombre, bénissant les exercices persévérants qui lui avaient enseigné à faire tous les nœuds de fauconnier d’une main et les yeux bandés ; son père le lui avait inlassablement répété :

« La plupart du temps, tu sera dans une fauconnerie sans lumière, et une main sera occupée par le faucon. »

Et ainsi, pendant des heures et encore des heures, elle avait serré et desserré, noué et dénoué ces mêmes nœuds sur des petites branchettes. Par encore assez experte pour qu’on lui laisse approché la patte fragile qu’était celle des faucons.
Se battant vaillant pour défaire légèrement le nœud, elle le fit, mais pas trop sinon l’oiseau s’enfuirait…
Quand ceci fut fait elle poussa un long soupir de soulagement, elle savait que ce qu’elle faisait n’allait être ni rapide, ni facile.
Elle avait déjà élevé des niais- Jeune oiseaux nés à la fauconnerie ou capturés encore nid, habitués à accepter la nourriture de la main avant d’avoir leurs plumes. Mais ce faucon, lui, avait appris à voler à chasser et à se nourrir ; celui-là était bien meilleur chasseur et beaucoup plus rapide que né en captivité. Mais beaucoup plus difficile à dresser, cependant si elle parvenait à soutenir cette gageur son père serait fier d’elle.
Arrêtant enfin de lui dire qu’elle était un fils indigne…

Le temps s’écoulait et l’oiseau faiblissait. Dans un dernier effort elle jeta au loin le morceau refusé et recoupa un autre plus « frais ».

« Allez ma belle prend le… »

Sentant l’animal, se tendre croyant qu’il allait encore une fois, exploser dans une ses fureurs dévastatrice. Une dernière série de battement d’ailes, et Aisleen sentit le découragement de l’échec …
Mais cette fois, le faucon baissa la tête, et, d’un mouvement vif et puissant planta son bec dans la chair de la viande, encore un nouveau coup de bec puis se mis à manger…


Depuis ce jour, elle conquit la confiance de son père. Cependant cette réussite entraina un entrainement plus poussé, voyant qu’elle se perfectionnait dans tout ce qu’elle faisait, doucement mais surement, il augmentât la quantité. Cela dura quinze ans, quinze années d’entrainement, de dressage, de travail, pour fortifier son jeune corps. Ses muscles se formant bien avant les premiers signes de sa féminité. Il n’y avait plus aucune trace de la petite enfant qu’elle était il y a de ça quelques années. L’enfant avait fait place à un jeune homme froid, se murant dans une indicible froideur. Seul rempart qu’elle avait su se construire pour ne pas perdre la raison.

Sa vie aurait pu durer ainsi tout le long de son existence mais un autre évènement en décida autrement. Grâce à l’être qui se présenta lors d’une foire à chevaux, l’avenir d’Aisleen reprendra un cour plus normal….




Tous les ans, la fête que donnait Le Karnesta au solstice d’été, n’était que le prélude à un grand marché de faucons, de chevaux et de chiens dressés. Toute la maisonnée s’était répartit dans diverses étalage et Len s’occupait de la vente de certain des chevaux de la production. Lorsqu’un homme vint auprès d’elle.

« Bonjour excusez moi. J’aimerai troquer ma vieille haridelle pour quelque chose de mieux ; je n’ai malheureusement pas beaucoup d’argent, mais avec l’échange de celle-ci, je pourrais travailler pour votre maison le temps que la contre partie soit payé.
Croyez-vous qu’un tel marché puisse convenir ? »


Surprise par cette demande l’elfe regarda l’homme intriguée puis se repris.

« Pour ce qui est du marché il faudra le demander à mon père. Sinon, nous avons quelques bons chevaux pas assez beaux pour attirer l’attention de la noblesse et qu’il faut vendre à un bas prix ; peut-être l’un deux vous conviendra… »

L’observa d’un œil incisif, de part cet examen elle réfléchissait à quel animal pourrait convenir au mieux à cette homme. Grand, bien bati et qui avait l’air d’avoir une poigne de fer.

« Celui-ci par exemple…dit-elle en montrant un grand cheval pataud à la robe brune, à la robe et à la queue de travers

- C’est une grande brute décharnée, mais si on observe attentivement son allure et la façon dont il porte la queue, vous reconnaitrez un cheval fougueux et solide. Ce n’est pas une monture pour une dame ou encore un homme qui ne possède aucune poigne et force ; il lui faut une main ferme et un bon cavalier »

« Je préfère vérifier ses dents moi-même. Je suppose qu’il est habitué à la selle ? »
Dit Alderic.

« Oui, bien que mon père pensa le mettre chez un de nos gens en tant que cheval de trait ; il est trop grand pour la majorité des hommes. Mais vu que vous êtes grand il n’y aura pas de problème. Je l’ai moi-même habitué à la bride, donc je sais de ce dont il est capable. »

« Et vous pouvez le manœuvrer malgré que vous soyez une dame ? »Dit Alderic incrédule.

« Qui...Qui vous dit que je suis une dame ?! Je suis Len Karnesta cadet et héritier de cette famille ! » Regard sombre d’avoir été découverte par un étranger, son sang ne fit qu’un tour.

« Malgré que vous le cachez de manière efficace, on le remarque…Enfin ce n’est pas tout. Mais je vais m’entretenir avec votre père au sujet de ce cheval... » Et il partit rapidement auprès du maître des lieux.
A partir de ce jour, Alderic, qui n’était autre que l’acheteur d’Aile rouge devint le maître d’arme d’Aisleen, Petit à petit en voyant le potentiel de son élève une idée lui vint en tête. Celui de la faire devenir Mercenaire...



Dés le moment ou Alderic m'emmena avec lui en tant qu'apprentie, il ne s'est pas passé un seul jour sans que je ne m'entraina, en un style tout différent et qui me convenait mieux de par son principe. L’épée double. Cependant ce type d’arme avait un gros désavantage, au vu du poids de l’arme il me fallut de longue heure de renforcement musculaire pour pouvoir penser à seulement la soulever. Et encore, la manier était loin d’être une chose aisée dans les premiers temps.
Il fallut plus de vingt années d’entrainement pour que je sois digne selon lui de passer le test final auprès des dominants. Et pourtant je n’avais encore que 80 ans. Age avancé pour la race humaine mais cependant encore qu’une enfant, pour les elfes qui étaient mon peuple. Malgré cela, je devins l’une des « plus jeunes » Mercenaires de mon époque. Chose guère facile, qui plus est lorsqu'on est une femme. Et, oui grâce à Alderic j’avais pu retrouver mon apparence première en redevant Aisleen et non Len. Cependant, depuis lors, de temps à autre je me complet a prendre ce rôle quand la présence d’une femme est des plus déplacés lors des missions.

A force de persévérance durant des années, je réussis à m’imposer dans cette organisation, devenant au fil du temps l’un des officiers malgré le statut de simple Mercenaire que je voulais conserver. Les apprentis se sont enchaînés, devenant une longue liste de nom sur un morceau de parchemin le temps ou les combats ayant fait leurs œuvres.
Après presque une centaine d'année, l'époque ou je fus intégré parmi les Mercenaires, la routine immuable qui s'y était installé s'est briser.Les Mercenaires sont sortit de leur silence. C’est ainsi depuis 25 ans, années qui ont changés la face de ce monde.
C’est dix dernières années j’eus un apprenti Tristan, fils des deux anciens dominants aujourd’hui disparut et je fus Dominante.


IV – Le joueur


Prénom/pseudo :
Comment as-tu connu le forum ? Par la V1
Comment le trouves-tu ? Toujours aussi extras
Des commentaires ? Ce perso n'a pas bougé par rapport à la V1. Ainsi je me suis permis de mettre que des ajouts minime.
Fréquence de passage sur le forum : Souvent
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Aisleen Karnesta

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