Tosya Renaissance
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Tosya Renaissance

Le monde Tosya, au cours de la troisième Ère, ving-cinq ans après la montée en puissance du Roi de Dinak, Dan Azyrith, le traitre d'Alsaria.
 
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Yselda Karnahal

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AuteurMessage
Yselda Karnahal
Mercenaire

Yselda Karnahal

Mercenaire


Messages : 14
Date d'inscription : 20/11/2010
Age : 33
Localisation : Toujours ailleurs (zavez qu'à demander si vous me croyez pas ;) )

Feuille de personnage
Age : 28
Métier / rang social : Mercenaire, Officier Nomade
Armes ou accessoires:

Yselda Karnahal Empty
MessageSujet: Yselda Karnahal   Yselda Karnahal EmptyLun 29 Nov - 19:44

Yselda Karnahal



I - Identité

Nom : Karnahal
Prénom : Yselda
Sexe : femme
Age : 28 ans
Origine : née à Dinak d’un père Alsarien et d’une mère Ellandyenne
Métier/rang social : Mercenaire, Officier Nomade, aspirante au poste de Dominante.

II - Le personnage


Physique :
Œil et cheveu sombres, teint hâlé par les années d’errances sur les terres tosyennes, Yselda est ce qu’on appelle un joli petit bout de femme. Pas excessivement grande, ni aux forme très généreuses, elle reste mignonne, avec son visage allongé, bien que semblant parfois un peu dur, son nez courbé et ses fossettes hautes. Ses yeux toujours cernés de noir ont une couleur marron foncé, apparaissant presque noirs

Bien qu’étant nomade, Yselda prend le temps de prendre soin d’elle. Elle se lave à l’eau claire, et a toujours avec elle des onguents aux herbes pour nettoyer sa peau. De même pour ses cheveux, qu’elle tresse avec soin, afin de paraître sous le meilleur jour possible. Le passage du temps et des frayeurs les a éclaircis de manière à ce que la fine chevelure aie une teinte délavée, gris foncé plutôt que noir de jais.

N’ayant pas la possibilité d’emmener avec elle toute une garde robe, pour d’évidentes raisons pratiques, Yselda voyage en général vêtue de chemisiers légers, poitrine bandée conférant un meilleur confort que le corset, pantalons en lin et bottes en cuir, enfin, parée de ceintures. Cependant, lorsqu’elle est au repaire, ce qui arrive relativement souvent depuis quelques années, elle aime à porter de simples et amples robes affichant toute sa féminité.
Equipement :
Une épée courte, une dague jumelle de celle que possède Garreth, gravée aux initiales de la Mercenaire, et trois petits couteaux aux lames reluisantes et surtout très tranchantes.
Caractère :
D’une manière générale, on peut dire qu’Yselda est une personne chaleureuse et très ouverte. Souriante, elle accueille la vie comme elle vient et en accepte les aléas comme elle le peut, pour se montrer forte face aux autres Mercenaires dont elle sait les mœurs souvent un peu machistes. D’un naturel plutôt calme et optimiste, Yselda n’en est cependant pas une bonne poire. Et elle n’est pas à prendre à la légère. Les menaces, elle les balaye d’un revers de la main, pour en proférer de plus grandes encore, dont il faut parfois se méfier. Car la Mercenaire n’est pas une personne qui abandonne facilement, bien au contraire. Lorsqu’une une idée se loge dans sa tête, il y aura peu de chances qu’elle s’en échappe. Auquel cas elle s’avouera tout de même difficilement vaincue. Facile à vivre, elle n’attend rien de spécial des autres, juste qu’ils soient respectueux envers elle et même les autres. Sans quoi, elle n’hésitera pas à faire front et à exiger que des excuses soient faites. Enfin, Yselda est une femme caméléon, qui sait aussi bien se fondre dans la masse que se faire remarquer de la meilleure des manières. Elle maîtrise assez de connaissances, de savoir et de pratique pour jouer le rôle qu’elle veut, et même passer pour quelqu’un qu’elle n’est pas. Parfois il peut être difficile de savoir quel rôle elle joue. Celui de l’observatrice accomplie ou alors celui qu’elle s’est inventé…
Qualités/Défauts :
Sa qualité d’écoute, sa tolérance et sa compréhension font d’elle une personne accessible à qui on n’a pas toujours peur de parler et dont on sait qu’elle ne vous jugera pas. Cependant, et surtout lorsqu’il s’agit de sa vie privée, Yselda peut se montrer excessivement jalouse et parfois surprotectrice envers son époux ou encore son entourage très proche.
Talents :
Yselda ne manie pas beaucoup les armes, et sait s’en servir juste ce qu’il faut. Elle n’est pas une grande guerrière, mais n’a cependant jamais trop de mal à intimider ses interlocuteurs par son maniement aisé des petits couteaux. Une activité qu’elle ne pratique presque toujours que par manie. Au fil de son apprentissage et de ses voyages, elle a aussi acquis un talent certain pour le déguisement et réussi à passer aussi inaperçue qu’un caillou au bord de la route sans trop de souci. D’autre part, la Mercenaire s’est découvert une fibre maternelle plutôt bonne, et on peut voir en elle la maman ou la sœur qu’on rêve d’avoir.
Particularités :Un fils, Arthur, trois ans, la raison de son accession au poste d’officier Nomade.

III – Histoire


Je suis une voyageuse. Comme les feuilles d’automne poussées par le vent je passe mon chemin de place en place. Ainsi j’ai été faite par les Dieux, et façonnée par mon père. Tout Tosya est ma nation, je n’ai d’attachement nulle part, et pourtant je me sens chez moi partout.

L’histoire de ma non sédentarité remonte à ma naissance, et même bien avant. Mon père a toujours été un nomade solitaire, se laissant porter où bon lui semblait. Quand à ma mère, elle faisait partie d’une de ces rares ethnies aux croyances polythéistes très anciennes, qui s’était récemment installée à l’extrême est des chaînes du Yarkol, dans ce qui pourrait être la partie Ellandyenne de ces majestueuses montagnes. Point n’est besoin de faire étalage de leur histoire, cela pourrait se trouver fort ennuyeux, et puis je n’en connais moi-même pas tous les détails. Je vous dirai juste que bannie pour avoir fréquenté d’un peu trop près un ghagio, ou un étranger dans la langue du peuple de ma mère. Ils s’enfuirent tous les deux et je naquis neuf mois plus tard à Dinak. On me donna le nom d’une déesse secondaire et très ancienne, dont on contait le mythe dans le clan de ma mère. Yselda était la femme du dieu guerrier, et qui menait de son côté une guerre personnelle contre tout ce qui pouvait nuire à son mari et son mariage.

Je me souviens peu de ma mère, qui décéda d’une infection l’année de mes six ans. Nous étions bien loin de son village natal, ainsi que du mien. Mon père l’inhuma sous un amandier en fleurs, je me souviens bien de cette journée… Ensoleillée, et moi dégustant des fruits gorgés du même soleil doux et sucré qui inondait les collines d’Alsaria en cette saison printanière. J’y retourne autant que je peux, car coïncidence troublante, c’est dans le même coin que Garreth m’avait déclaré sa flamme, 18 ans plus tard. Mon père se garda bien de me montrer sa peine, et continua de battre la campagne, moi sur les talons. J’acquis durant les quatre années suivantes de nombreuses connaissances, et une complicité sans pareille s’installa entre mon père et moi. Il m’apprit à chasser du petit gibier, à tirer à l’arc, à manier une épée courte. Mais là où j’excellai, c’était dans le maniement des petites lames comme les couteaux et poignards. J’ai aussi pu acquérir un sens pointu de l’orientation et appris quelques notions d’observations.

C’est probablement pourquoi il m’abandonna à une autre femme alors que j’avais à peine dix ans et demi. Echange douteux : il me laissait avec Ayline, elle lui donnait un apprenti, un jeune homme d’à peu près un an de plus que moi. Garreth. Je n’ai pas tardé à avoir l’entière explication une fois que nous fûmes éloignées de mon père. Ayline et lui étaient Mercenaires. J’ai alors remarqué l’anneau à son doigt. De l’Istal. Un bijou que j’avais déjà vu sur des dizaines de personnes depuis que nous voyagions. J’en ai d’abord voulu à mon père de m’avoir ainsi abandonnée sans m’avoir rien dit. Puis ma rancune s’est estompée avec les années, pour disparaître lorsque je le revis pour la première fois deux ans plus tard. Ce fut comme si jamais nous ne nous étions quittés. Garreth était là, lui aussi. Pendant ces deux ans j’avais cru qu’étant la fille de Jorel, Garreth était le fils d’Ayline. Mais je m’étais trompée. Elle l’avait trouvé dans les rues d’Elsarande, une petite cité du sud d’Alsaria, à faire les poches des nobles gens.

Je vis la jalousie percer dans son regard, lorsque je me trouvais près de mon père. De tout le temps de notre formation, et les quelques fois où nous nous sommes croisés, ce fut pour nous deux un combat acharné pour l’amour de mon père. Il était la seule figure paternelle connue de Garreth, et mon père était toute ma famille. Ainsi je m’étais délectée à chaque fois de faire valoir mon droit auprès de mon père, défiant ainsi mon ami apprenti. Je le poussai de cette manière et de façon tout à fait involontaire à se surpasser et faire de son mieux pendant ses leçons d’apprentissage. Mais tous ses efforts ne suffirent pas, et j’obtins mon anneau d’Istal deux ans avant lui. Je n’avais que dix-neuf ans. Mon père témoigna toute sa fierté, et m’offrit de ce fait une splendide épée courte gravée du nom de notre famille : Tar’Houen. Il accepta aussi que je les accompagne, Garreth et lui, pour leurs voyages.

Ils durèrent les deux dernières années de la formation de mon futur mari. Nous formions une belle triplette, avec le chef de bande, et les deux autres à se battre pour son affection. Cela faisait bien rire mon père qui n’hésitait pas à en rajouter toujours un peu. J’eus à peine le temps de féliciter Garreth pour sa titularisation qu’il avait fait ses adieux pour partir en mission de son côté. Et moi je suis restée avec mon père. Pendant à peu près trois ans nous avons écumé tout le royaume de Dinak, passant invisibles dans les hameaux ou y laissant un souvenir impérissable. La belle équipe que nous formions s’est alors dirigée vers Alsaria. Et le hasard voulu que nous retrouvions ici Garreth, non loin de l’endroit où nous avions perdu maman. Les retrouvailles furent mouvementées. Garreth avait changé, comme moi. Je le trouvai plus fort et sûr de lui. Mais je réussissais toujours à le déstabiliser autant.

Mais tous ces sentiments disparurent lorsqu’il me demanda de l’épouser. J’entendis presque les violons grincer lorsqu’il m’expliqua être amoureux de moi depuis le premier jour où il m’avait vu, il y a quatorze ans. J’étais cependant trop étonnée et heureuse à la fois pour le couper dans son émouvante tirade. Seuls les pâles rayons de la lune nous éclairaient. L’instant était magique, je dois bien le reconnaître, et pour un tel instant, c’était parfait. Une semaine plus tard nous nous mariions. Dans ce verger, sous l’amandier où reposait, sous terre, ma mère. Je suis certaine d’avoir senti sa présence au moment où le pasteur nous unissait, Garreth et moi. Le bruissement des feuilles sur les branches avait quelque chose d’exceptionnel.

Enfin, mon père insista pour partir seul, nous laissant tous deux, jeunes mariés, en équipe. Nous nous connaissions bien, mais nous avions surtout passé un temps certain à nous chamailler et nous chercher des noises, et sans mon père, Garreth et moi aurions bien pu nous entretuer au moins une bonne dizaine de fois. A vrai dire j’appréhendais la vie avec lui. Mais mes peurs furent infondées, et nous devinrent une équipe indivisible et forte. Nous étions comme Vernar et Yselda, les deux dieux du passé. Deux guerriers sans cesse sur le qui vive. Mais pas assez pour éviter le piège de la maternité. Une chose inévitable, certes, mais cela impliquait que je doive ralentir la cadence pour éviter tout désagrément. Cette idée m’avait fortement déplu, mais au final, c’est plutôt agréable de rester plusieurs mois au même endroit. Arthur vit le jour dans une petite chaumière tenue par des Mercenaire Affides, qui offraient le gîte et le couvert à tous leurs confrères de passage. Et je ne voulais pas que mon fils naisse dans l’atmosphère humide et froide du repaire.

Je n’avais pas prévu de rester trop longtemps, mais l’arrivée d’Arthur m’avait changée. Mon instinct de protectrice s’était développé à un point à peine imaginable, et je ne voulais pas l’abandonner si tôt. C’était donc cela, être mère. De nomade, j’étais devenue sédentaire, et ma notoriété ajoutée à cela avait fortement joué dans le fait que l’on m’avait donné un poste d’officier des Nomades. Voilà deux ans que je le suis, et aujourd’hui, je suis pressentie pour le poste de chef des Nomades.

IV – Le joueur


Prénom/pseudo : Devine !
Comment as-tu connu le forum ? Comme Eleanor en fait...
Comment le trouves-tu ? Beau *o*
Des commentaires ? Ca puire messire !
Fréquence de passage sur le forum : tous les jours s'il le faut ! Twisted Evil


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