Tosya Renaissance
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Tosya Renaissance

Le monde Tosya, au cours de la troisième Ère, ving-cinq ans après la montée en puissance du Roi de Dinak, Dan Azyrith, le traitre d'Alsaria.
 
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Eleanor Azyrith

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AuteurMessage
Eleanor Azyrith
Alsarienne

Eleanor Azyrith

Alsarienne


Messages : 91
Date d'inscription : 08/07/2010
Age : 33
Localisation : En France ou ailleurs... 8D

Feuille de personnage
Age : 21 ans
Métier / rang social : Princesse d'Alsaria
Armes ou accessoires:

Eleanor Azyrith Empty
MessageSujet: Eleanor Azyrith   Eleanor Azyrith EmptyLun 25 Oct - 9:20

I – Identité

Nom : Azyrith
Prénom : Eleanor
Sexe : femme
Age : 21 ans
Origine : le palais de Dénaros, Alsaria
Métier / rang social : Princesse d’Alsaria


II – Le personnage


Physique :
Tout le portrait de sa mère, Eleanor est de taille moyenne et élancée, mince aux formes agréables. Véritable princesse digne des plus beaux contes, son teint est clair, et son portrait des plus enchanteurs. Visage ovale et lisse – trop lisse – encadré par une cascade d’épais cheveux d’un blond de blé. Ses yeux ont le même bleu clair que la surface ondulée des rivières d’Alsaria, et sont les mêmes que ceux de sa mère. Toute la candeur de son visage se lit dans ces yeux rêveurs ainsi que sur ses lèvres d’une délicate teinte rose.

Comme toute princesse, Eleanor dispose d’une garde robe et d’un coffret à bijoux des plus fournis. Discrète, elle ne porte jamais de couleurs trop vives, se contentant de couleurs claires et pastel, avec une large préférence pour les tons bleus et les blancs, lui conférant un aspect éthéré, associé à la pâleur de sa peau et la clarté de ses cheveux. La jeune princesse éprouve également une grande attirance par les bijoux et autres colifichets, aimant se parer des plus belles pièces d’or des meilleurs orfèvres de Dénaros… Jamais cependant de pierres précieuses, toujours de l’or, parfois de l’ivoire ou encore de la nacre.


Equipement :
Aucun, la princesse n’a jamais appris à tenir une arme entre ses mains, et n’y a jamais tenu par la suite…


Caractère :
Eternelle rêveuse, Eleanor n’est cependant pas à voir et prendre comme une gentille petite princesse toute candide et dénuée de cervelle. Eduquée par les meilleurs précepteurs de tout Alsaria, elle a emmagasiné toutes sortes d’informations et d’histoires. Elle n’a peut être cependant pas conscience de toute la réalité des faits horribles qui ont pu bouleverser Tosya, car certains faits de l’histoire ne lui ont pas été racontés en détail comme cela a pu l’être pour son frère. Est-ce aussi pour cela que la vie ne lui fait pas peur, et qu’elle a décidé de la vivre comme bon lui semblait, sans pour autant faillir à sa tâche de princesse.

Car Eleanor a un sens aigu de l’honneur et de la famille, et serait probablement prête à tout pour protéger l’un ou l’autre. Elle aime son frère, qui l’aime en retour. Et elle bénit chaque instant qu’elle a la chance de partager avec lui, ce qui s’est fait plus rare depuis son accession au trône. Très pieuse, elle se rend toutes les fins de semaine aux offices rendus au dieu Ilhar.

Toutefois, deux Eleanor peuvent être distinguées : la princesse Eleanor Azyrith, et la jeune femme rêveuse, croyant en des idéaux sur la vie parfois erronés. Si Eleanor montre en public une tenue exemplaire et hisse au maximum la notoriété de sa famille à chacune de ses apparitions, elle est en privé une personne pour le moins différente. L’Eleanor qui ne se sépare presque jamais de son amie d’enfance Laena Watson peut paraître moins reluisante. Espiègle, Eleanor aime s’amuser et faire ce qui lui plait, non pas forcément quand elle le veut, mais quand elle le peut… Et quand elle veut, elle peut.

Amoureuse de musique et de poésie, elle aime bouger et s’évader. Elle offre beaucoup de son temps aux artistes et fait office de mécène, ce qu’Erwan, son frère, néglige souvent. C’est sa manière à elle de participer à la vie du royaume.


Qualités / défauts :
Eduquée comme telle, Eleanor est une personne relativement docile, se laissant dicter ce que le protocole exige d’elle, mais ne se laissera pas attaquer sans raison et par n’importe qui. Elle pourrait tout accorder sans concession à ceux qu’elle aime : son frère ou Laena ; mais son rang et sa philosophie l’en empêchent parfois, ce qui fait d’elle quelqu’un de bon conseil et capable de calmer par un simple non un esprit trop agité.


Talents :
Eleanor fut éduquée avec grand soin, et a acquis au fil des années une quasi parfaite maîtrise de plusieurs instruments de musiques tels la harpe ou encore la flûte. Elle est une danseuse émérite, mais une catastrophe ambulante quand il s’agit de monter à cheval ou de tenir une aiguille pour faire de la broderie. Mécène des arts, Eleanor se débrouille sans trop de mal en dessin.


Particularités :
Une tache de naissance à l’intérieur du bras gauche ainsi qu’une légère cicatrice dans la paume de la main droite, résultat d’un serment proféré entre elle et Erwan, se jurant de ne jamais se faire la guerre.



III – Histoire


Jamais les poussiéreuses archives ne pourront vous renseigner convenablement sur les origines réelles d’Eleanor Azyrith. Car rien n’est plus secret que la naissance des deux enfants prodiges de feu la reine d’Alsaria. Secret de famille.

Car officiellement, Eleanor est le second enfant d’Alina Azyrith, et de Philippe d'Almeida, son époux. Mais la réalité est toute autre. Des années auparavant, la reine tomba amoureuse d’un artiste rencontré aux abords du lac Balassy. Leur amour fut caché car décrété impossible par l’étiquette et les lois. L’outrage à la cour et au peuple si Alina et Touri avaient montré au grand jour la belle histoire qu’ils vivaient aurait été immense, et le déshonneur aurait été jeté sur la famille Azyrith, déjà alors abîmé par la trahison de Dan. La petite princesse connaît tous les détails de ce « conte de fées ». Encore enfant elle croyait juste que sa mère lui contait une fabuleuse histoire, mais l’âge lui permit de savoir que cette histoire était vraie, et vécue par sa propre mère. Et jamais elle ne devrait être connue par quiconque.

Pour cela, Eleanor avait acquis une excellente capacité : garder des choses pour elle. Même son amie d’enfance, sa sœur de lait n’était au courant de cela. Dans les premières années de sa vie, Eleanor avait été élevée avec son frère, puis ils durent suivre des cours séparés. Autant que ses souvenirs remontaient, Eleanor avait toujours été amie avec Laena Watson. Leur premier pas, elles l’avaient fait main dans la main, sous le regard émerveillé de leur nourrice. Depuis, jamais elles ne se sont quittées. Deux petites merveilles blondes riant aux éclats, et espiègles au possible. La seule différence entre les deux demoiselles : la différence de langage, et le combat d’Eleanor contre la verve fleurie de la jeune noble.

Musique, chant, dessin, peinture, broderie, lecture, histoire, équitation… Eleanor suivit une formation exemplaire, et bien qu’elle apprécie les arts, jamais elle ne réussira à broder un joli napperon ou à enchanter quelqu’un par le son de sa voix, bien qu’elle fut agréable au parler. La musique et le dessin sont devenus son dada, quand à l’équitation, elle lui permet de s’évader quelques heures du château. Plus tard, la princesse accomplira le rôle de mécène des arts, à défaut que son bien aimé frère s’en charge.

Son frère. Avec Laena, Erwan est la seule personne pour qui Eleanor serait prête à tout. Même s’ils ont eut une éducation légèrement différente, ils ont le même sang bâtard. Et c’est ce qui les a définitivement unis lorsqu’Eleanor apprit l’entière vérité à propos de son père. Le mari d’Alina les avait aimés comme ses enfants, mais le mariage avait été décidé dès le début que comme une couverture à ce que beaucoup appelleraient l’inconscience de la reine. Eleanor le respectait énormément, et à défaut d’avoir auprès d’elle son vrai père, l’aimait comme tel. Ce soir là, Eleanor ne pouvait se résoudre à s’endormir, tant cette idée lui occupait l’esprit.


« -Erwan. Erwan. ERWAN ! fit elle plus sèchement.
-Hein ?!


Le prince se redressa dans son lit et se frotta les yeux. Son regard se dirigea ensuite tout naturellement vers sa sœur, assise en tailleur au milieu de son lit, un air déterminé et tracassé affiché sur son visage.

-Qu’y a-t-il ?
-Depuis quand le sais tu ? Pour notre père.
-J’avais dix ans, aussi.
-Et jamais tu ne m’a rien dit ! Deux ans que tu le sais et tu ne m’en a jamais touché un mot !
-Notre mère t’a bien dit de ne jamais révéler cela à quiconque. J’ai été soumis au même sermon. Ne m’en veux pas, je t’en prie.


Leurs regards se croisèrent. Eleanor voyait défiler les images qu’elle s’était construites lorsque sa mère lui contait son histoire. Erwan ne lui ressemblait pas. Ni même à leur père adoptif. Elle se dit alors du haut de ses dix ans que les gens de la cour étaient bien bêtes de ne pas voir la supercherie. Mais c’était tant mieux. Pour le salut de leur mère. Puis les images se brouillèrent. Et elle vit alors des images sanglantes, de guerre. Les guerres du passé, qui avaient provoqué le déchirement de la famille et du royaume. Une histoire que tout le monde connaissait, en revanche, et qu’elle et son frère maîtrisaient sur le bout des doigts.

-Promets moi que jamais tu ne me feras de mal, et que jamais nous ne nous battrons l’un contre l’autre.

Erwan fronça les sourcils.

-Tu n’as pas besoin de me demander de le promettre. Tu le sais que jamais nous ne nous ferons la guerre. Car l’ordre est rétabli, je suis le fils aîné, il n’y aura aucun problème d’héritage.
-On n’est jamais sûr de rien ! Regarde la famille qu’on a, on peut tout imaginer. Promets-moi.


Le prince fit la moue, et se laissa glisser au pied de son lit. Il empoigna la dague sertie qui l’accompagnait chaque jour que Dieu lui offrait de vivre, et vint s’installer auprès de sa sœur. Erwan plaça alors la lame au creux de sa main gauche et referma ses doigts, devant le regard surpris d’Eleanor. Lui n’avait pas sourcillé, et la coupure ne lui tira aucune grimace. Il gardait son regard fixé sur sa sœur, digne et fier, alors qu’il lui tendait le poignard rougi de son sang.

-Cela te suffit comme preuve ?

Ce fut avec la même dignité qu’Eleanor prit entre ses mains la dague de son grand-père et comme Erwan, la posa au creux de sa main droite, pour entailler sa chair couleur d’opale. Le sang perla et coula sur les draps blancs. Et alors, les deux enfants royaux mêlèrent leur sang par une solide poignée de main, sans jamais se quitter du regard. »

Il arrivait encore maintenant à Eleanor et Erwan de rire de cette soirée. Car le valet de chambre les surpris et ce fut l’unique fois où ils furent tant réprimandés et punis. Tout comme il leur arrivait régulièrement de contempler cette blanchâtre et filiforme cicatrice qui ornait leur paume. Cette aventure ne tira à leur mère que des larmes. Jamais Eleanor ne sut ce qu’elles signifiaient. Ses années d’adolescence furent celles où Eleanor fut le plus proche de sa mère, même la princesse voyait bien qu’elle était toujours plus troublée et heureuse d’être en présence de son frère, lui qui ressemblait sûrement à leur père inconnu. Le pacte scellé entre Eleanor et Erwan empêchait la jeune femme d’en vouloir à son frère.

Six années où Eleanor, fleur du royaume, grandit et embellit aux côtés de sa mère, son frère et son amie de toujours. Sa mère qui lui conta les détails sur l’histoire qu’elle avait vécue avec Touri, et Eleanor se prit à rêver malgré elle qu’elle vivait une aventure semblable. Seulement Alina qui était des plus attentionnées envers sa fille, et qui ne voulait que le bien de ses enfants, le lui déconseillait formellement. Même si c’était la plus belle chose qui ait pu lui arriver, ce n’en était pas moins quelque chose de non conforme, et qui n’arrivait pas à chaque génération.

Puis Alina quitta le monde des vivants. Elle était morte de chagrin. La reine céda sa place à Erwan, et Eleanor veillait sur lui, comme l’avait souhaité sa mère. Le frère protecteur était toujours, mais il devait parfois se confronter à la sœur protectrice, prête à tout pour le bien être de son roi de frère. Et ce qui était sûr, c’était qu’elle pouvait compter sur Laena.


IV – Le joueur


Prénom/pseudo : ha ha !! =D
Comment as-tu connu le forum ? Mouahahaha je suis co-fondatrice x)
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Des commentaires ? Berlin c’est moche !
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